vendredi 7 octobre 2011

testament d'un fasciste....BENITO MUSSOLINI

Le Testament Politique de Mussolini.


Message 




-"Aucun italien, quelque soi sa foi politique, ne doit désesperer face à l’avenir. Les ressources de notre peuple sont immenses. S’il saura trouver un point de soudure, il retrouvera sa force avant même de quelques vainqueurs. Pour ce point de fusion, je donnerais ma vie, même aujourd’hui, spontanément, quel qu’elle soit, pourvu du vrai esprit italien. Après la défaite, on me crachera dessus, mais ensuite, ils me vénéreront. Et alors je sourirais, parce que mon peuple sera en paix avec lui-même.
Le travailleur qui effectue son devoir social, sans autres espoirs qu’un morceau de pain et le salut de sa propre famille, répète chaque jour un acte d’héroïsme. Les personnes qui travaillent sont infiniment supérieurs à tous les faux prophètes qui prétendent la représenter [la classe ouvrière]. Lesquels prophètes ont le jeu facile à cause de l’insensibilité de qui aurait le devoir de s’en occuper. Pour cela je suis et je reste socialiste.

L'accusation d'incohérence n'a pas de fondement. Ma conduite à toujours été rectiligne, dans le sens de regarder la substance des choses, et non la forme. Je me suis "socialisament" conformé à la réalité. Pendant que l’évolution de la société démentait beaucoup des prophéties de Marx, le vrai socialisme se repliait du possible au probable. Le seul socialisme est le corporatisme, point de confluence, d’équilibre et de justice des intérêts par rapport à l’intérêt collectif. La politique est un art difficile d’entre les difficiles, car elle travaille la matière insaisissable, oscillante, incertaine. La politique travaille sur l’esprit des hommes, qui est une entité difficile à définir, car changeante.

Extrêmement changeant est l’esprit italien. Quand je ne serais plus, je suis sûr que les historiens et les psychologues se demanderont comment un homme a-t-il pu entraîner pendant 20 ans, un peuple comme celui italien. Si je n’avais rien fait d’autre, ce chef d’œuvre suffirait à ne pas être enterré dans l’oubli. D’autres pourrons dominer avec le fer et le feu, mais pas avec le consentement, comme j’ai fait. Ma dictature à été beaucoup plus douce que d’autre démocratie, gouverné par les ploutocrates*. Le Fascisme a eu plus de mort que ses adversaires, et le 25 juillet, à la frontière, il n’y avait pas plus de 30 personnes. Quand il est écrit que nous sommes la garde blanche de la bourgeoisie, on affirme la plus éhonté des calomnies. J’ai défendu, et je l’affirme en pleine conscience, le progrès des travailleurs. Parmi les principales causes de l’effondrement du Fascisme, je cite la lutte sourde et implacable de certains groupes industriels et financiers, qui dans leurs fol égoïsme, craignaient et haïssaient le Fascisme comme le pire ennemi de leurs intérêts inhumains. Je dois dire, pour des raisons de justice, que le capitale italien, le capitale légitime, celui qui se soutient lui même par la capacité de ses actes, à toujours compris les exigences sociales, même quand il devait allonger le cou pour faire face aux nouveaux pactes de travail.

L’humble classe du travail m’a toujours aimé et m’aime encore. Tout les dictateurs ont massacrés leurs ennemis, je suis le seul passif ; trois milles morts, contre quelques centaines. Je crois avoir nobilisé la dictature, Peut-être l’ai-je dévirilisé, mais je lui ai au moins arraché les outils de tortures.
Staline est assis sur une montagne d’ossements humains. Est-ce mal ? Je ne regrette pas d’avoir fait le plus de bien que j’ai pu, même à mes adversaires, même aux ennemis, qui complotaient contre ma vie, en leurs envoyant des subventions, et ainsi les arrachant à la mort. Mais si demain ils enlèvent la vie à mes hommes, quelles responsabilités aurais-je acquise en les sauvant ? Staline est debout et il gagne, pendant que je tombe et que je perds. L’histoire ne s’occupe que des vainqueurs, du volume de leurs conquêtes, et le triomphe justifie tout. La révolution française est considérée pour ces résultats, pendant que les guillotinés sont limités aux pages nécrologiques.

Ces vingt ans de fascisme, personne ne pourra les effacer de l’histoire d’Italie. Je n’ai aucune illusion sur mon destin. On ne me jugera pas, parce qu’ils savent, qu’à partir d’accusé, je deviendrais accusateur. Ils me tueront probablement, et ils diront que je me suis suicidé, gagné par les remords. Celui qui à peur de la mort, n’a jamais vécu, et moi j’ai même trop vécu. La vie n’est qu’un trait de conjonctions entre deux éternités : le passé et le futur.
Du moment que mon étoile brillait, je suffisais pour tous ; maintenant qu’elle s’éteint tous ne suffiraient pas pour moi. J’irais là où le destin me voudra, Car j’ai fait ce que le destin m’a dicté.

Les fascistes qui resteront fidèles aux principes, devront êtres des citoyens exemplaires. Ils devront respecter les règles que le peuple se donnera, et devrons coopérer loyalement avec les autorités légitimes, crées pour les aider à soigner, dans le plus petit laps de temps, les blessures de la patrie. Celui qui agira différemment, démontrera que la patrie n’est plus sa maison quand il doit la servir par le bas de l’échelle. Les fachistes, enfin, devront agir par sentiment, et non par ressentiment. De leurs comportements, dépendra une plus rapide révision historique du fachisme. Car maintenant c’est la nuit, mais bientôt viendra le jour."-


Benito Mussolini - Ecrit lors de sa dernière nuit.

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