vendredi 18 novembre 2011

L ISLAM AVANCE ET NOUS?

Quelle place pour l'islam en Belgique, à Bruxelles notamment ? Une étude se penche sur la question. Premier constat : un quart des Bruxellois sont musulmans. Ils ont donc un poids dans notre société. Un poids qui n'est peut-être pas assez pris en compte par le pouvoir politique.

En 40 ans, les musulmans ont considérablement modifié le paysage de la capitale. Aujourd'hui, sur un million de Bruxel...lois, ils sont 250 000. Dont la moitié de pratiquants. Cette réalité est encore trop méconnue selon Felice Dassetto, sociologue et auteur de "L'Iris et le Croissant". Pour lui, seules les équipes de football mobilisent plus de gens. "L'islam a un effet structurant de l'espace urbain, il faut y faire face". "Je crois que les communes travaillent dans ce sens, mais les autres niveaux (régional, fédéral) comprennent moins les enjeux ; il y a un travail à faire à cet égard".



Les musulmans ont développé tout un réseau. Il y a aujourd'hui plus de 200 organisations islamiques : des mosquées, des associations culturelles ou encore des librairies. De plus, les musulmans ont des attentes. Ibrahim Merzoug, ingénieur commercial aimerait créer un grand restaurant halal. Mais il est bloqué. Faire un prêt avec un taux d'intérêt, c'est contraire au Coran. "On évite de faire de l'argent avec de l'argent".



Aujourd'hui, des dizaines de musulmans ne veulent pas acheter de biens parce que la finance islamique n'existe pas chez nous, comme l'explique Mohamed Boulif, économiste et consultant en finance islamique. "Les préjugés autour de l'islam font que les banques réfléchissent à deux fois, même si elles peuvent avoir un intérêt, à se lancer dans cette finance".



En Grande-Bretagne, les banques pratiquent la finance islamique. Car de plus en plus, les convictions musulmanes prennent de l'importance en Europe.

mercredi 16 novembre 2011

Draghi, Papadimos, Monti : le putsch de Goldman Sachs sur l'Europe (édito 11/2011)

 


Mario Draghi est le nouveau patron de la Banque centrale européenne (BCE). Loukas Papadimos vient d’être désigné comme premier ministre grec. Mario Monti est pressenti comme président du conseil italien. Ce sont trois financiers formés aux Etats-Unis, dont deux anciens responsables de la sulfureuse banque Goldman Sachs. Est-il bien raisonnable de recruter les incendiaires comme pompiers ? Explications.
Mon premier s’appelle Mario Draghi. Il est diplômé d’économie du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été chargé des privatisations italiennes de 1993 à 2001. Il est devenu gouverneur de la Banque d’Italie en 2006. De 1993 à 2006, il a siégé dans divers conseils d’administration de banques. De 2002 à 2006 il a été vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs, la sulfureuse banque d’affaires américaine. Il vient d’être nommé président de la Banque centrale européenne (BCE).
Mon second s’appelle Loukas Papadimos. Lui aussi est diplômé du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été professeur à l’Université américaine de Columbia avant de devenir conseiller économique de la Banque de réserve fédérale de Boston. De 1994 à 2002, il a été gouverneur de la Banque de Grèce : poste qu’il occupait quand la Grèce s’est « qualifiée » pour l’euro, grâce à des comptes falsifiés par Goldman Sachs. Puis, il a été vice-président de la Banque centrale européenne (BCE). Il vient d’être nommé, sur pression de l’Union européenne et du G20, premier ministre de Grèce avec le soutien des deux partis dominants.
Mon troisième s’appelle Mario Monti. Il est diplôme de l’Université de Yale. Il a étudié le comportement des banques en régime de monopole. Puis il a été durant dix ans commissaire européen, de 1994 à 2004. D’abord « au marché intérieur et aux droits de douane » (ou plutôt à leur suppression) puis à la concurrence. Membre de la Trilatérale et du groupe de Bilderberg – selon Wikipédia – il a été nommé conseiller international de Goldman Sachs en 2005. Il vient d’être nommé sénateur à vie et l’Union européenne et le G20 tentent de l’imposer comme président du conseil italien.
Mon tout c’est trois financiers européens (?), trois hommes de la superclasse mondiale, formés dans les universités américaines et étroitement liés à Goldman Sachs.
« Government Sachs » : aux commandes de l’Europe ?
La banque Goldman Sachs est surnommée aux Etats-Unis « government Sachs » tant elle est influente sur le gouvernement américain. Le secrétaire au Trésor de Clinton, Robert Rubin, qui procéda à la dérégulation financière, venait de Goldman Sachs. Tout comme le secrétaire au Trésor de Bush, Hank Paulson, qui transféra aux Etats les dettes pourries des banques, lors de la crise financière. L’actuel président de Goldman Sachs, Llyod Blankfein, aime à dire qu’il « fait le métier de dieu ». En fait, Goldman Sachs est au cœur de la prédation financière et elle est impliquée dans de nombreux scandales financiers : celui des « subprimes », celui de la tromperie de ses clients (à qui elle recommandait d’acheter des produits financiers sur lesquels elle spéculait à la baisse), celui du maquillage des comptes grecs.
Ce sont les hommes de Goldman Sachs qui sont aujourd’hui poussés aux commandes. Par quels moyens ? Et pour quelles fins ? Faire prendre en charge par les peuples les fautes des banques ? Faire sauver l’Amérique par les Européens ?
Dans six mois – et sauf imprévu – les Français vont élire un nouveau président de la République : il serait prudent de leur part de demander aux trois principaux candidats (en l’état, François Hollande, Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy) de s’engager à ne pas se faire imposer comme premier ministre un… ancien de chez Goldman Sachs.

mardi 15 novembre 2011

SOLIDARITE KOSOVO

Beaucoup de monde en ce samedi 12 novembre à Lyon, qui s’était muée pour l’occasion en ville de Serbie. En effet, la soirée de soutien envers le peuple serbe, organisée par l’association Solidarité Kosovo a connu un vif succès. De nombreuses personnes, venues d’horizons différents se sont retrouvées autour d’un buffet gastronomique serbe, et de son cochon grillé.

Donateurs, militants associatifs, sympathisants et Serbes vivants en France ont pu ainsi apprécier le travail réalisé par Solidarité Kosovo depuis 2004, à travers de nombreux convois humanitaires à destination des minorités chrétiennes du Kosovo, dont le prochain aura lieu fin décembre.

Après la présentation de l’association par l’un de ses membres fondateurs, c’est la présidente, Marion Chevtzoff qui a abordé l’actualité brulante du Kosovo, ainsi que l’organisation et les objectifs de la mission de Noël.
Solidarité Kosovo remercie chaleureusement tous les participants de cette soirée de soutien, et particulièrement les généreux donateurs grâce auxquels l’action de Solidarité Kosovo se fait chaque année plus importante et précieuse pour les serbes.

Aujourd’hui plus que jamais, nous devons nous mobiliser pour continuer à aider les familles serbes du Kosovo !

GOLDMAN SUCKS!!!

- Qu'ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le nouveau président de la Banque centrale européenne, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au "gouvernement Sachs" européen. La banque d'affaires américaine a en effet tissé en Europe un réseau d'influence unique sédimenté depuis des lustres grâce à un maillage serré, souterrain comme public.A tout concours, il faut une hiérarchie. Le premier prix revient bien sûr à Mario Draghi, vice-président de Goldman Sachs pour l'Europe entre 2002 et 2005. Nommé associé, il est chargé des "entreprises et pays souverains". A ce titre, l'une des missions est de vendre le produit financier "swap" permettant de dissimuler une partie de la dette souveraine, qui a permis de maquiller les comptes grecs. Vient ensuite Mario Monti, conseiller international depuis 2005. Arrive en troisième position Lucas Papadémos, qui vient d'être nommé premier ministre de la Grèce, qui fut gouverneur de la Banque centrale hellénique entre 1994 et 2002, qui a participé à ce titre à l'opération de trucage des comptes perpétré par GS. Le gestionnaire de la dette grecque est d'ailleurs un certain Petros Christodoulos, un ex-trader de la firme.
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Deux autres poids lourds tiennent le haut du pavé dans la défenestration de l'euro, Otmar Issing, ex-président de la Bundesbank et Jim O'Neill, l'inventeur du concept des BRICS, l'acronyme désignant les marchés émergents à fort potentiel de croissance (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Ex-président de Goldman Sachs International dont il est resté l'un des administrateurs, l'Irlandais Peter Sutherland a joué un rôle-clé dans le sauvetage de l'Irlande. Enfin, Paul Deighton, qui a passé 22 ans chez Goldman Sachs, est directeur général du comité organisateur des Jeux olympiques de Londres en 2012. La lanterne rouge car chacun sait que le sport comme l'amitié est hors concours.
Pourtant, au-delà des apparences, le réseau d'influence qui a fait sa puissance avant ou pendant la tourmente politique financière de 2008 a perdu de son efficacité. En effet, les complicités anciennes entretenues par les ex-banquiers centraux chevronnés mobilisés pour tirer les ficelles se révèlent moins utiles face à des politiciens sensibles à l'impopularité des professionnels de la finance tenus pour responsables de la crise. Là où Goldman Sachs pouvait facilement exercer ses talents, une série d'affaires – la Grèce, la spéculation contre l'euro, le scandale Abacus auquel a été mêlé le goldmanien français Fabrice Tourre – lui ont mis à dos la puissance publique.
Le carnet d'adresses est utile mais ne suffit plus à lui tout seul sur une planète financière complexe et technique et face à une nouvelle génération d'industriels moins pétris de respect pour l'establishment. Les patrons européens partis à la conquête du monde se sont émancipés des croisés de la haute finance style Goldman Sachs. La quête de valorisation de l'actionnaire, les exigences de transparence des comptes et les impératifs de l'expansion à l'étranger émoussent l'"effet réseau". Enfin, devenus plus exigeants sur la qualité et l'indépendance du métier de conseil, les clients européens, mais pas seulement, exigent le respect d'un minimum d'éthique.
Et c'est là que le bât blesse à propos de Goldman Sachs. Car la banque aime placer ses hommes sans jamais laisser tomber le masque. C'est pourquoi ses hommes liges cachent cette filiation quand ils donnent une interview ou mènent une mission officielle (comme ce fut le cas de Monti qui s'est vu confier en 2010 une étude sur le marché unique européen par le président de la Commission, José Manuel Barroso).
Mario Draghi affirme qu'étant entré en fonction en 2002, il n'a rien eu à voir avec le maquillage des comptes grecs orchestré deux ans plus tôt par la banque. Et il a démissionné en 2005, soit un an avant que Goldman Sachs ne revendre une partie du "swap" en question à la National Bank of Greece, la première banque commerciale du pays, dirigée par un ancien Goldmanien, Petros Christodoulos, aujourd'hui responsable de l'organisme gérant la dette grecque.
Marc Roche

lundi 14 novembre 2011

IO NON SCORDO

le 10 février 2012 à 20h ce tiendra un rassemblement devant l'ambassade d'Italie a Bruxelles.
le but de ce rassemblement est de commémorer les victimes des "FOIBE".
Les foibe sont ces cavités naturelles qui parsèment l’arrière-pays de Trieste, et dans lesquelles des milliers de personnes furent jetées, parfois encore vivantes, entre 1943 et 1947, victimes d’un nettoyage ethnique qui visait à vider cette région de toute présence italienne.
Ce même génocide perpetré par le regime communiste du maréchal TITO qui est malheuresement encore de nos jours oublié des livres d'histoires.
Afin de tenir allumer la flamme du souvenir, rejoins nous le vendredi 10 fevrier à 20H devant l'ambassade d'ITALIE a rue Emile Claus n°28 à 1050 Bruxelles.
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il 10 febbraio 2012 alle ore 20 ;verra' effettuato una commemorazione presso l'ambasciata italiana di Bruxelles.Lo scopo di questa azione e di commemorare le vittime italiane infoibate.
Per chi non lo sa ancora,le foibe sono delle cavita di origine naturale con ingresso a strapiombo,e in quelle voragine dell'Istria che fra il 1943 e il 1947 sono stati gettati,vivi o morti quasi 10.000 italiani,senza distinzione di eta oppure sesso.Lo scopo di questa "pulizia etnica"era di eliminare ogni traccia di italianita' nella regione dell'Istria,Fiume e Dalmazia.
Putroppo questo genocidio orchestrato dalle truppe comuniste del maresciallo TITO sono con il passare degli anni,state dimenticate dai libri di storia.AFFINCHE SIA RIACCESA LA MEMORIA DELLE VITTIME ITALIANE INFOIBATE VIENI INSIEME A NOI IL VENERDI 10 FEBBRAIO DAVANTI L' AMBASCIATA ITALIANA A RUE EMILE CLAUS N°28 A 1050 BRUXELLES!!

IO NON SCORDO

BRUXELLES 10/02/12

MERCI SARKO

mercredi 9 novembre 2011

Les Grecs entrent en résistance face à l'ordre bruxellois

 

09/11/2011 05:53:20
Désobéissance civile, débrouille : face au diktat de l'Europe, ce qui n'était jusqu'alors que des moyens de survie dans la société grecque risque de se transformer en un véritable mouvement de résistance contre l'occupation bruxelloise, juge l'historien et ethnologue Panagiotis Grigoriou.

« À bas l'occupation, la lutte continue, pour nous, sujets du Protectorat allemand au sud de l'Europe, chers auditeurs, les masques sont tombés, Papadimos l'élu de Merkel et de Sarkozy, ce banquier qui a contribué au maquillage des statistiques grecques lors de l'entrée dans l'euro, cet homme de la BCE et des rapaces internationaux des marchés, ce conseiller de Papandreou sera probablement notre prochain Crime Minister ... Les deux grands partis ont signé par la même occasion, l'acte de leur mise à mort en assassinant la patrie et le peuple. « Socialistes » du P.S. et Nouvelle « Démocratie » (la droite), entrent dans l'incinérateur politique, ce n'est plus une affaire de gauche ou de droite, mais de dignité nationale et de survie. L'Europe dite démocratique, nous disait encore hier, vous êtes sous nos ordres, sinon nous allons vous b... (sic) …. Je crains même, que sous peu, la liberté de parole restante va disparaître … Après les élections de … février, nous verrons éventuellement une grande coalition de tous les collabos, « Argentine plan » - phase II, sauf si …. Et bientôt les mamans italiennes ou bien même françaises vont s'en rendre compte. Nous, nous savons ici que désormais, cette Europe n'est pas une Union politique, mais la dictature des criminels de la doctrine du choc, et notre peuple se voit programmé à mourir sous occupation ... Mais la Résistance est là ...

lundi 7 novembre 2011

VOUS DITES QUE C EST LA FAUTE DE LA GRECE?

Avec le traitement politico-médiatique de l’actuelle « crise » économique, c’est Halloween tous les jours !

En effet, pas un journal télévisé, pas une intervention d’homme politique, pas un sommet européen sans que l’on agite frénétiquement l’épouvantail grec ou que l’on conspue collectivement le croquemitaine Papandreou, ce monstre atroce qui prétendait demander l’avis de son peuple quand à son avenir (mais qu’on a heureusement bien vite ramené à la raison).

La Grèce, avec ses 11 millions d’habitants et son économie représentant à peine plus de 2% du PIB européen, menacerait de faire basculer l’Union Européenne, voir le monde entier, dans le chaos, la tragédie et la misère. Rien de moins.

Tremblez donc, petits enfants, car l’Europe est au bord du gouffre, à deux doigts de la faillite, à un souffle de la ruine, et tout cela, c’est la faute de la Grèce. La Grèce et ses dirigeants corrompus, son peuple de fainéants, ses fonctionnaires trop nombreux et trop payés et son tropisme méditerranéen pour la sieste et le système D para-légal.

Quand Xanis Zatropoulos ne termine pas son chantier pour continuer à percevoir les aides communautaires à la construction ou que Maria Yannakis touche le salaire de son mari mort depuis plusieurs années, c’est toute l’Union qui tremble sur ses bases ! Cela donne une idée de la solidité de l’édifice… Mais peu importe, retenez bien l’horrifique credo : la crise, celle qui menace, de Dublin à Lisbonne en passant par Paris et Rome, votre emploi, votre Assurance vie et l’avenir de vos enfants, c’est la faute des Grecs !

Et ils ont bien intérêt à accepter sans broncher tous les diktats Merkelo-sarkoziens s’ils veulent expier leurs crimes et être un jour pardonnés !

La responsabilité des banques ? Les manipulations de Goldmann Sachs ? Les incohérences européennes ? Le rôle des fonds d’investissements ? La spéculation sur les dettes étatiques ? Les attaques américaines contre l’Euro ? L’irresponsabilité des traders ? Les millards de bénéfices des multinationales dont pas un centime n’est reversé aux Etats ?...

Mais de quoi parlez-vous ?! Vous dites des sottises, vous n’y comprenez rien, vous n’êtes ni un « expert », ni un « spécialiste » qui, seuls, sont aptes à saisir la subtilité des arcanes de l’économie libérale et donc autorisés à donner leur avis dont nous pouvons, chaque jour depuis plus de 20 ans, constater l’efficience, l’honnêteté et la clairvoyance.

L’économie c’est complexe, technique, il faut la laisser aux techniciens réunis dans de grandes organisations internationales de type FMI ou OMC qui savent ce qui est bon pour le monde, du moins pour le leur.

Quand tout va bien, il est vrai qu’on s’interroge parfois sur la légitimité et les objectifs réels de ces grands organismes mondialistes ni élus ni contrôlés par quiconque. Mais quand ça barde, quand ça va mal, qu’on nous promet une crise de 29 tous les 15 jours, une explosion sasn précédent du chômage et la disparition de notre épargne, on est alors bien content de s’en remettre aveuglément à ces ombres tutélaires, ces grosses têtes autoproclamées, aux titres ronflants et aux visages hiératiques de grands prêtres de la finance déifiée. Prêts alors à leur sacrifier sans hésiter un instant des pans entiers de nos libertés collectives et individuelles, à leur laisser les clefs de la maison et la garde des gamins, à condition qu’ils nous préservent, grâce à leurs pouvoirs méta-humains, de la perspective d’une « récession » synonyme de caddies vides, d’annulation de vacances et de sapin de Noël sans Iphone 4 enrubanné à ses pieds.

Et s’il faut pour cela se débarrasser de Nikos Andropoulos, l’ordure qui n’a pas déclarée au fisc la vente de ses 50 litres d’huile d’olives, et bien nous le pendrons de nos propres mains ! Tout plutôt qu’ « on » nous retire notre triple A, ce symbole étrange et magique dont tout le monde ignorait l’existence et encore plus la signification il y a encore quelques mois mais dont l’avenir fait désormais trembler d’angoisse le plus modeste foyer d’Auvergne ou de Vénitie. Pour le sauvegarder, nous sommes désormais prêts à accepter qu’un peuple désigné fautif se voit imposer des lois et des règles coercitives par des élites étrangères et sans légitimité qui elles-mêmes se gobergent des milliards de bénéfices d’une économie qui n’a jamais été aussi riche tout en profitant à un si petit nombre.

Nous n’aurons donc pas à nous plaindre quand viendra notre tour.

source :ZENTROPA