jeudi 22 décembre 2011

DE L’EXPANSIONNISME CHINOIS

Bientôt, les marionnettistes chinois fixeront eux-mêmes l’intégralité des prix dans l’enceinte même du Continent européen. Bientôt, les composantes morbides de l’Empire du Milieu nous rétribueront strictement selon leurs intérêts et leurs désirs. Bientôt, l’Occident tout entier se muera en un gigantesque protectorat économique. Bientôt, alors, l’Occident, et plus particulièrement les Etats européens, seront commercialement colonisés, tout en étant culturellement assujetti par l’irrationalisme islamique. Bientôt… ! Mais peut-être saurions-nous enfin agir ? Car, l’avenir de la Civilisation européenne ne dépend-t-il pas de nos actions imminentes ? Ceci, ne manquant pas d’être tout à fait naturellement évident, marque notre transition analytique : Par conséquent, il est plus que primordial d’avoir connaissance du fait que l’impérialisme asiatique, et plus proprement celui des Chinois, se caractérise par leur extension commerciale croissante sur l’ensemble du champs planétaire, en qualité duquel cette peuplade nocive est intégralement en mesure d’attester de façon pragmatique sa lugubre volonté de conquêtes. La Chine, à présent, incarne une contrée très hautement industrialisée, et, bien que ce pays ne se soit aucunement opposé à une conversion, loin de ne pas être suffisamment oblongue, au système de « marchés libres », nous tâchons cependant de noter que le secteur industriel de cet Empire ne diminue guère malgré cette évolution vers le libéralisme économique transnationale.

Nous pourrions même garantir illico que la Chine bénéficie d’une industrie « nationale » dont l’accroissement n’est en rien mineur, ni relativement limité, attendu que son vampirisme abject à l’égard des Nations occidentales lui assure bien régulièrement la construction d’usines et de manufactures de tout type (A l’intérieur desquels, par exemple, des automobiles sont produites ; Mais du matériel téléphonique est tout aussi bien façonné). Plus concrètement, l’industrie chinoise contemporaine, affranchi de la planification maoïste, a su désobstruer sa vieille « Porte » vers la Civilisation occidentale depuis la direction gouvernementale de Deng Xiaoping ; L’évolution économique stupéfiante de la Chine est ainsi indéniablement synonyme d’expansion internationale à terme – Les entrepreneurs chinois, endettés ou non, acquièrent et rachètent sans devoir endurer la moindre perturbation structurelle des parts de marchés originellement subordonnées à des entreprises extrêmement variables, et une telle conduite semble, par ailleurs, avoir mit un terme à la suprématie yankee d’antan, parce qu’en effet, les Etats-unis d’Amérique sont plus que jamais paupérisés et palpés par les déréglementations pratiques inhérentes aux Bourses, dont les placements ne pourvoient pas les charges de la croissance indispensable aux Etats et à leur Peuple, et ce, tout en lénifiant fictivement la démolition des « boîtes », et de toutes les rétributions salariales ad hoc ou à peu près admissibles.


Mais il est indubitable que nous n’avons pas à railler la destinée commune des nord-américains, car, notre conjoncture nationale, en France, au même titre que notre conjoncture continentale, en Europe, à défaut d’être absolument analogue, n’est pas, pour autant, davantage propice. Nous sommes, nous aussi, en tant qu’Européens, de plus en plus astreints à l’impitoyable gloutonnerie de la Chine moderne, plus querelleuse à l’heure actuelle, sous son exaltation impérialo-capitaliste, que sous son ère maoïste, enfoui depuis seulement quelques d’années, notamment en raison du fait que les entreprises munies de capitaux majoritairement détachés du cadre public fournissent des salaires dix fois inférieurs en comparaison de ceux qui sont reçus au sein de l’Europe, et plus particulièrement au sein de l’Europe occidentale. Autrement, l’Union Européenne, cette organisation bureaucratique, supranationale, et obstinément antidémocratique, n’aurait sans doute point l’hardiesse de formuler des demandes d’ « assistances » au vaste Royaume des Nabots enjoués. Autrement, nous ne subirions pas autant de délocalisations, de licenciements, de limitations d’effectifs salariés, et de privatisations !


La logique européiste est, par essence, fondamentalement contre-européenne et antinationale au point de vue sociale comme culturelle. Les flammes des commotions populaires ne sont-elles pas atrocement brûlantes, ces derniers temps ? Notre industrie, qui pourrait être une zone professionnelle d’autant plus diversifiée et très accrue, solidement génératrice d’emplois, et qui ne nécessite pas d’une manière irrémédiable des qualifications ministérielles, doit bien évidemment être sauvé tant que nous avons encore la possibilité de la sauver au sens strict du terme. Sauvée, contre les offensives eurocratiques. Sauvée, contre cette concurrence transnationale absolument dérégulée. Sauvée, contre la domination grandissante de la Chine. Et ne soyons surtout pas ingénus : Si l’emprise chinoise parvient à se hisser sur l’ensemble du globe terrestre, si les possédants chinois atteignent le paroxysme de leurs desseins despotiques, le climat culminant de ces derniers sur le plan empirique, tous les Etats et tous les Peuples se verront alors forcés d’œuvrer au profit d’un pays dont les compteurs démographiques explosent de fond en comble, et ce, sans jamais négliger le fait que la Chine demeure une dictature monopartiste, et nous n’avons naturellement pas du tout besoin d’établir un tel régime à l’échelle occidentale.


La Révolution Sociale et Patriotique en France, et à l’intérieur des contrées européennes en règle générale, est donc un objectif formellement capital. En esquivant lâchement cette Révolution, nous nous jetterions complètement dans les bras des ploutocrates européens, mais surtout asiatiques. Ce que, manifestement, nul d’entre nous ne veut. Ainsi donc, par exemple, en France, un Gouvernement pleinement disposé à protéger sa population nationale, rappellerait de suite l’existence effective et matérielle des frontières, avant d’assurer la fermeture partielle ou in extenso de celles-ci. Par de telles mesures, nous ne serions plus dépendants du libre-échangisme capitaliste, ne nous « offrant » que des produits étrangers farouchement défectueux, et dénués de toute valeur sociale en Occident. Nos tâches ultérieures consisteraient, aussi, à redynamiser en toute efficience l’agriculture nationale et européenne, si bien que nous permettrions l’établissement tout à fait authentique d’une économie dignement nationale, en relation absolue avec la totalité des masses citoyennes composant la Nation. Mais nous aborderons ce processus fondamental au cours d’une prochaine partie.

-Nicolas Tenorski-.

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