samedi 26 mars 2011

NON A LA MONDIALISATION,NON A LA DICTATURE DES MULTINATIONALES.

La mondialisation, ou la dictature des multinationales, n’engendre pas des désastres seulement des points de vues économiques et sociaux, mais aussi humains. Avant la prise de pouvoir de ces multinationales, par exemple, l’Afrique subvenait à ses besoins alimentaires de manière autonome à 98%. Pourtant aujourd’hui, c’est la famine. Conséquence de ce phénomène, en Europe et en Italie, des millions de déshérités, d’affamés, de désespérés, arrivent chaque année.
La politique face à cette vague est absurde. Les organismes privés, au nom de conceptions idéologiques ou religieuses (communistes, progressistes, Caritas etc.) entretiennent une guerre entre les pauvres en offrant la priorité aux immigrants face aux italiens pauvres. Ils commettent une injustice en gaspillant des subventions publiques, fournissant une assistance médicale, favorisant l’emploi et l’accession aux logements aux dépens des italiens.
Dans un système économique global, les entreprises nationales sont en compétition avec d’autres qui emploient de véritables esclaves sous-payés afin de produire à des coûts dérisoires. C’est pour cela que ces mêmes entreprises recherchent une main d’œuvre bon marché (les immigrants) afin de répondre à cette concurrence déloyale. Les immigrants acceptent bien sûr volontiers ces salaires de misère que les Italiens refusent bien souvent. Cesser d’exposer nos entreprises à cette concurrence rendra inutile l’apport d’immigrants et garantira nos emplois.
Contre l’enfer de la société multiraciste, nous proposons :
La lutte contre les causes de l’immigration :
- coopération avec les zones économiques extra-européennes afin de mettre fin à leur dépendance vis-à-vis des multinationales.
- Arrêt du flux migratoire.
- Création d’un organisme de contrôle qui s’assurera que cesse le favoritisme social dans les zones touchées par l’immigration.
- Lutte sans merci contre les négriers et leurs complices.
- Blocage des fonds destinés aux associations parasites favorisant « la politique d’accueil » qui masquent en fait des intérêts particuliers économiques, religieux ou idéologiques.

Extrait du programme politique de Casa Pound Italia.

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